Pour moi, c'était une grande opportunité d'apprendre des théologiennes réformées de Madagascar. Ce fut une expérience extraordinaire, notamment parce que la culture malgache est très différente de ce que j'ai connu au Kenya et que je ne connaissais pas son contexte économique, social et politique ainsi que ses aspects concernant le genre. C'est pourquoi il était important de commencer le séminaire par une excursion dans diverses communautés chrétiennes et lieux culturels d'Antananarivo. Le thème de "l'écoute" était attrayant et les diverses contributions des différentes participantes ont été très instructives. J'ai particulièrement apprécié les contributions de Brigitte et Christine pour leur approche à partir d'une expérience pratique et vécue, en travaillant par exemple avec des femmes sourdes à Madagascar et avec des réfugiés en Suisse. Le défi de communiquer dans différentes langues n'a pas entravé les réunions, mais a contribué au thème : « Comment s’écouter ?».
En septembre 2019, J’ai eu l’immense honneur et la grande opportunité de participer au séminaire théologique réunissant les femmes théologiennes membres de Tsena Malalaka. Tsena Malalaka est un lieu d’échange entre femmes théologiennes Africaines et Européennes. On pourrait penser que “Immense honneur” est un peu trop pour cette première rencontre entre théologiennes africaines et européennes. Pourtant, c’est pour moi le terme approprié. Les quelques points suivants ont marqué cette expérience :
- Une “opportunité sur les plans relationnels et professionnels”: En tant que pasteure et théologienne appelée au professorat à la Faculté de théologie d’Antananarivo, ce séminaire m’a permis d’entrer en contact avec d’autres femmes pasteures et des théologiennes n’étant pas pasteures, qui œuvrent déjà dans ce domaine au niveau international. Être participante à ce séminaire a été un immense honneur, car mes collègues participantes ont pour la plupart déjà plus d’années d’expériences que moi en cette matière et sont déjà actives dans le domaine. Quant à moi, je suis encore en pleine préparation. Ecouter leur témoignage quant à leurs parcours, comprendre leur vocation, connaître les difficultés auxquelles elles ont dû faire face pour pouvoir pratiquer leur profession ou encore comprendre les combats auxquels elles doivent encore affronter en tant que femme leader dans leur domaine m’ont été source d’encouragement. Profession rime avec relation. Travailler et pratiquer les bonnes œuvres pour lesquelles on a été créé (Ep 2.10) nécessitent une interaction avec l’autre. Ecouter l’expérience de l’autre est toujours bénéfique pour pouvoir situer ou l’on est soi-même et par conséquent prendre de bonnes résolutions concernant sa propre expérience.
- Une « nouvelle et surtout grande bouffée d’oxygène » : Le séminaire était pour moi un moyen de remise en question, une grande étape dans mon développement personnel ainsi que spirituel, car le personnel et le spirituel sont devenus pour moi interdépendants ; un pas en avant sur ma voie et un outil nécessaire pour comprendre et pratiquer ce pourquoi j’ai été créée/j’existe. Le thème du séminaire a été principalement focalisé sur “l’Ecoute” sous toutes ses formes. Apprendre à « écouter l’autre » équivaut à « apprendre à le comprendre ». Qui pourrait mieux comprendre une femme qu’une autre femme ainsi que ses difficultés auxquelles elle a dû faire face en tant que femme ? “Apprendre à comprendre” ne doit jamais être séparé “d’apprendre à comprendre ce que l’autre pense, croit, ressent ...”. Les différents ateliers organisés pendant le séminaire ont favorisé nos échanges de point de vue et de convictions, notre compréhension mutuelle malgré notre grande différence de culture.
- Une « nouvelle vision concernant la théologie » : Ce séminaire a ouvert une nouvelle porte sur ma vision de la théologie : ma théologie est limitée sur mon continent d’origine (Madagascar). La théologie et sa pratique pourraient être différentes selon la provenance, la culture, les propres expériences et l’éducation de celle qui les met en œuvres. La théologie pourrait être conçue ou perçue de manières différentes par des personnes ayant vécues des expériences différentes. Notre théologie définit qui nous sommes et ce à quoi nous pensons et croyons, quelles expériences nous ont marquées. Les expériences de l’autre nous enrichissent et nous ouvrent aussi à de nouveaux horizons lorsqu’elles sont partagées. Tout ceci a un impact sur notre théologie et donnera au final une théologie plus riche car évaluée et comparée à d’autres.
Pour terminer ce témoignage : Ce séminaire théologique a pour moi été une promotion sur tous les plans et est un début d’une suite de plusieurs expériences similaires à venir, car cette première expérience m’a permis de réaliser “qu’échanger” est aussi et surtout “écouter”. Ecouter sans échanges ou échanger sans écouter n’est pas possible notamment en théologie. J’ai réalisé que ma théologie est vaine sans échanges et sans compréhension de la théologie de l’autre, sans écouter ce que l’autre a à en dire, car chacun-e a sa propre conviction, ses propres expériences – sans pour autant devenir “un mouton de Panurge”.
Un dernier mot sur l’organisation : Le Séminaire a totalement été composé de femmes théologiennes. A Madagascar, le management et le leadership des femmes pasteures dans l’administration de leurs paroisses respectives sont vues et perçues comme très positives (dans l’église réformée FJKM). Apparemment, femme, théologie et professionnalisme riment ensemble quel que soit le continent. En effet, composées de femmes venant de continents différents, la bonne organisation et coordination a surmonté nos différences et a favorisé à faire ressortir le meilleur de chacune des participantes. Je tiens personnellement à féliciter les coordonnatrices de Tsena Malalaka qui nous ont embarquées dans cette incroyable voyage. Toujours égales à elles-mêmes, leur travail de regroupement et leur incroyable ouverture m’ont personnellement encouragées à aller encore un peu plus de l’avant en apprenant de mes aînées. Un professionnalisme ainsi qu’une atmosphère de sincérité ont été présents tout au long des séjours et des ateliers organisés. On a un adage en Malgache : “Soa fianatra” qui veut dire “apprendre de ce qui est bien, de ce qui a eu de bon résultat”. Alors, pour tout et pour toutes je dirai : “SOA FIANATRA”. Soli Deo Gloria. "
Le thème de notre séminaire à Madagascar était : "Être à l'écoute - Listening". J’ai alors compris combien l’écoute et la tentative de se comprendre mutuellement sont liées à la perception concrète qu’on a du contexte de vie de l‘autre. En tant que européennes nous étions “dépaysées” et étrangères à Madagascar. Nous étions confrontées à d'autres conditions de vie. Cela nous a amenées à écouter d’une nouvelle façon, à porter un regard neuf sur la situation de l’autre. En même temps cela nous a fait re-réfléchir sur notre propre réalité et sur la pensée théologique qui en découle. Grâce à l’internet la communication est devenue plus facile à nos jours, à travers les continents. Le séminaire m'a montré que les rencontres concrètes restent pourtant irremplaçables.
C’est un kaléidoscope d'aspects quant à l'écoute qui s'est déployé devant moi pendant le séminaire – à travers les rencontres avec les participantes et avec des personnes sur place. Cela m'a inspiré pour mes engagements dans mon propre contexte de vie.
Une collègue malgache a dit après le séminaire : "Nous nous sommes rencontrés à égalité. J’ai apprécié comment chacune de nous a donné et reçu, respectivement" Une belle conclusion, qui exprime bien ce qui nous motive dans notre réseau œcuménique interculturel Tsena Malalaka.
Par rapport au Séminaire Tsena Malalaka à Madagascar, je pourrai dire que c'ést une rencontre spéciale et qui a non seulement eu un caractère œcuménique et intellectuel, mais aussi social et instructif pour les unes et les autres. C’était un véritable espace d’échanges à travers les différentes présentations, les visites aux autorités, aux institutions et aux groupes de femmes structurées et les visites de séjour chez les collègues sur place. Je pourrai aussi dire que c'est une visite historique qui a permis de découvrir les sites historiques de Madagascar et surtout l'histoire vibrante de ses reines. Tout cela avec le thème du séminaire a été à notre actif pour plus d'engagement dans le ministère de la promotion et de l'engagement des femmes.
Pour moi, la rencontre physique avec des théologiennes de pays africains très différents a été très précieuse et enrichissante. J'ai été particulièrement impressionnée par leur profonde spiritualité et comment elles façonnent la vie de l'église ou mènent leurs recherches théologiques avec si peu de ressources matérielles.
Salutations ! Je suppose que tout le monde a repris son travail et ses obligations habituelles et que le séminaire est déjà loin. Nous, à Madagascar, nous nous souviendrons encore longtemps des moments heureux que nous avons passés avec vous toutes.
J'ai personnellement apprécié l'amitié et l'expérience du "donner et recevoir" que nous avons vécue de près ou de loin au cours de cette semaine mémorable. J'ai vécu une fois de plus que dans le Christ, "donner est plus une bénédiction que recevoir" MERCI à toutes.
Je remercie et loue Dieu de m'avoir donné l'opportunité de participer à ce merveilleux séminaire. Ce fut un tel privilège pour moi d'apprendre tant de choses des membres de Tsena Malalaka. J'ai appris des sœurs qui ont participé à ce séminaire, sur leurs ministères, leurs défis, leurs réalisations, leurs témoignages personnels concernant leur vie et leur famille. J'ai également appris différentes façons de plaider en faveur de l'égalité des sexes, de s’opposer à la violence contre les femmes et les enfants, de favoriser l'autonomisation (« empowerment ») des femmes et aussi faire face aux défis sur la façon d'écouter Dieu au milieu de tout cela. D'une manière générale, le séminaire m'a donné le courage de poursuivre mon ministère en faveur des femmes, de leur donner la parole, d'autonomiser (« to empower ») les femmes et les filles, mais aussi de réfléchir à mes futurs écrits et recherches.
Je remercie Dieu pour toutes celles et ceux qui ont soutenu ce séminaire, qui l'ont financé et qui l'ont organisé. Je prie pour que nous ayons d'autres séminaires de ce type.
Merci en Christ.
Personnellement, j'ai eu une très bonne expérience à Madagascar. C'était la première fois que je rencontrais en face à face tant de personnes qui sont MEMBRES de Tsena Malalaka. Je lisais (depuis longtemps) les noms de ces personnes dans les courriels de groupe, mais le séminaire de septembre m'a donné l'occasion de les rencontrer en personne.
Dans cette optique, il m'a donné l'occasion d'interagir et de mieux se connaître les uns les autres. Les textes, les activités telles que la participation à l'église de Rina ont également été une bonne expérience. Nous avons appris le malgache, et nous avons chanté en malgache (je chante toujours la chanson), j'ai aimé ça. Nous avons partagé différents angles et façons d'interagir avec le texte (la Bible) en ce qui concerne le thème de l'écoute. C'était bien ! En bref, j'ai juste aimé l'esprit d'unité et de solidarité qui régnait entre nous, malgré nos origines et nos nationalités différentes. J'espère que nous aurons un autre séminaire comme celui-ci à l'avenir !
Le séminaire à Madagascar a été pour moi une formidable plongée d’interculturalité : tant d’expériences provenant de tant de pays différents et expériences différentes m’ont beaucoup enrichie. Pour moi qui suis théologienne, ce fut une manière de faire une théologie à partir de la vie et pour un service meilleur à notre humanité.
Le séminaire interculturel m'a ouvert les yeux non seulement sur l'extrême pauvreté à Madagascar, mais aussi sur le formidable engagement social des théologiennes malgaches. Je suis profondément impressionnée !
J'ai été très touchée lorsque j'ai reçu l'invitation à participer au séminaire interculturel qui s'est tenu au Père Dehon Ambolokandrina, à Antananarivo, Madagascar, du 17 au 23 septembre 2019. Je suis heureuse de partager ici mes réactions et témoignages à ce sujet.
Le lieu : Pères Dehoniens Ambolokandrina
Dès que l'on arrive à la réception des « Dehoniens Ambolokandrina », on sent que c'est un endroit paisible. On se sent chez soi et à l'aise ; il y a des chambres individuelles ou doubles, des salles à manger (pour des repas simples et sains), des chapelles, des jardins, des terrains de sport (volley-ball, basket-ball) ... Quant à moi, j’ai fait du jogging tous les matins. Le fait d'être loin de la ville rend l’endroit calme et tranquille.
L'ambiance de groupe
L'atmosphère de groupe m'a façonnée ainsi que le fait de vivre et de rester ensemble :
- Couper le cordon ombilical : Le principe de l'abstinence. C'était la première fois que j'étais séparée de mon deuxième enfant, âgé de trois ans, pendant une semaine. Je l'ai laissé avec ma mère. J'ai reçu des nouvelles tous les jours qu'il allait bien, sauf la première nuit. Après tout, je m'en rends compte, c'est moi qui avais besoin de me séparer de lui et d'être plus indépendante et d'apprendre à mes enfants à l'être. Il y avait une participante qui était dans un cas similaire, nous nous sommes alors encouragées mutuellement. J'ai commencé à arrêter d'allaiter mon enfant une semaine auparavant et cette pause l'a totalement sevré... et j'étais "sevrée" de lui. Cela m’a fait grandir et me concentrer sur mon propre devoir, ainsi que sur mes obligations familiales.
Le quartier
Le séjour complet sur place est une des règles de ce séminaire. Elle a apporté l'unité, au-delà du simple fait de vivre ensemble. J'ai demandé une chambre individuelle (parce que je me préparais à discuter avec mes enfants pendant le temps libre ou tard dans la nuit). Mais même ainsi je n'étais pas seule car on s’accueillait entre voisines, quand quelqu'une était malade, nous venions dans sa chambre pour lui rendre visite et prendre soin d'elle, certaines avaient besoin de médicaments, d'autres en donnaient, nous avions l'habitude d'accueillir les autres dans notre chambre pour discuter. Le temps nous semblait trop court, mais il nous semblait aussi que nous nous connaissions depuis longtemps. J'ai eu la visite de deux participantes : Une doyenne d'université et une professeure. Elles ont prié pour moi et m'ont donné des conseils sur la façon de terminer mon doctorat. Elles m'ont encouragée avec des mots réconfortants mais aussi des stratégies et des clés pour terminer mes études ! J'ai réalisé que nous avions vécu un moment entre sœurs, leur grande humilité me rappelant qu'il n'y a pas de barrière de diplôme entre des sœurs en Christ qui suivent leurs vocations. "Ny tsy feno ihany no mikobana", dit le proverbe malgache : Seulement celle qui n’a pas assez de bagages a besoin de s’agiter pour se faire remarquer.
L’heure et le programme
Ce séminaire a été un moment, où j'ai pu profiter de l’heure voir de la ponctualité suisse. Nous avons suivi l’horaire avec bonheur, je l'ai pris comme un jeu, mais en même temps comme une discipline. Je mettais souvent l'alarme pour atteindre l'heure. J'avais l'habitude de faire une sieste de 10 ou 15 minutes. Une fois, j'ai oublié de mettre le réveil et j'étais en retard. Heureusement, quelqu'un m'a réveillé sinon on m'aurait laissée là. J'ai aussi apprécié le moment de travail en groupe et de partage. Ils nous aident à nous concentrer sur :
La formation et le partage
Le thème principal de ce séminaire est « l'écoute ». Toutes les activités ont été axées sur ce thème. La formation était riche tant par sa qualité et son niveau que par la diversité méthodologique.
- Le niveau : C'était incroyable pour moi de vivre un partage à un niveau aussi élevé de théologie et d'expérience. Beaucoup de participantes ont déjà un doctorat et/ou sont très expérimentées dans des domaines pratiques. La formation était donc d'un très haut niveau et en même temps très simple et concrète.
- La diversité : Différents cours se sont réunis dans le cadre du séminaire. Il y a eu un impact important de l'interculturalité, comme je l'ai ressenti, concernant les sujets bibliques, sociologiques, ecclésiologiques et écologiques et, surtout, la théologie féministe dont nous avons discuté. J'étais impliquée dans "le ministère dans les prisons » et « L'esprit volontaire dans le scoutisme. Les synergies étonnantes étaient si perspicaces et analytiques qu'elles allaient à la racine des problèmes d'écoute.
- Technique et méthodes de formation : Chaque modératrice avait des techniques de formation différentes, ce qui a enrichi le séminaire. Il y a eu des conférences, des discussions sur des films, des ateliers, des jeux de rôle. Il y avait également différentes méthodes de formation : des méthodes actives et des méthodes passives. Il y avait, par exemple, différentes façons de mélanger les groupes : groupes linguistiques, groupes de pays, ou groupes mixtes... Ces méthodes ont permis d'accroître l'intérêt, de combiner l'animation et la concentration et, en particulier, d'éviter la monotonie.
- Partager : L'un des points forts de ce séminaire a été le grand partage public de certaines participantes sur le féminisme, au sein du Bureau de l'Église FJKM. La conférence nous a renforcées, car nous avons senti que le message atteignait les gens. Ils ont apprécié la solidarité au niveau du partage et les différentes façons dont le message a été transmis. La technique de traduction audio a également été un succès et a aidé les participant-e-s à comprendre les différentes langues.
La vie spirituelle
Comme dans tous les séminaires chrétiens il y avait des moments de dévotion, un recueillement chaque matin. Les points suivants m'ont touché :
- L'œcuménisme : Les participants au séminaire venaient de différentes confessions - telles que l'Église presbytérienne, l'Église méthodiste, l'Église réformée, l'Église catholique..., mais le respect régnait. La prière de Marie, proposée un matin par une sœur catholique, a suscité quelques doutes dans mon esprit. Au premier abord, j'étais réticente à la dire. Mais ensuite, cette prière m'a ouvert l'esprit et le cœur. Je prenais en considération que Marie était une femme comme moi et je me demandais combien de fois j'ouvrais moi-même vraiment la bouche et priais envers le Christ, quand on me demandait de prier pour quelqu'un d'autre... Car on avait bien demandé à Marie de "transmettre" de nombreuses prières de différentes personnes, comme nous a l’expliqué une sœur participante. Le mélange de femmes vivant dans des ordres religieux et d'autres ayant d'autres modes de vie, a également été un enrichissement spirituel. Le séminaire était non seulement interculturel mais aussi interconfessionnel.
- Interagir : J'ai déjà mentionné que nous nous rendions visite dans nos chambres et que nous priions les unes pour les autres. J'ai vraiment vécu cela.
Les moments de plaisir : La phase d'orientation au début, les excursions, le feu de camp : c’étaient d'autres formes de vie en commun :
- La phase d'orientation : Parfois, les gens du pays pensent que visiter des lieux historiques est réservé aux étrangers, c'est faux ! Il y a des lieux, des mythes et des légendes (par exemple dans le Palais de la Reine et du Roi) qui ne sont pas connus des Malgaches !
- Visites : La visite d'une paroisse par notre groupe du séminaire a été une expérience de partage et un moment de détente aussi, y compris le tourisme.
- Feu de camp - Feu de joie : C'était un moment doux et relaxant, où les participantes pouvaient imaginer ce que la société penserait du féminisme et de l'écoute... mais de manière ludique : chansons, animations, jeux, discussions, rires ...
En résumé
Lorsque je remémore ce temps du séminaire, je me souviens de la main puissante de Dieu qui me guidait, de ses oreilles et de son cœur qui m'entendaient et me tenaient et m'apprenaient à apporter et à partager ! Louange à Lui, la gloire appartient à Dieu seul, et reconnaissance et paix à toutes les sœurs qui ont accepté de rendre ce moment plus qu'étonnant ! Un grand merci aux coordinatrices et aux donatrices et donateurs !